Côtoyer les divines étoiles
et mourir seul, navire sans
voiles
Qui, dans le tréfonds de la mer
s’efface
pareil au Temps dans l’espace ;
C’est souffrir malheur suprême
en terre inconnue que la langue
blasphème
Et dont le monde terrestre,
Désabusé,
hume le parfum bigarré.
Ah ! qu’il est plaisant et anxieux
de savoir sans effort que l’on vient des
cieux !
F. NOUMARK WILFRIED KAMENAN